View source for FR/Prabhupada 0498 - Au moment où je quitte ce corps, c’en est finit de mes grattes-ciel et de mon business

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'''<big>[[Vaniquotes:Here is the recommendation. Try to become Krsna conscious. And then you'll not be disturbed with all these external, ephemeral changes of the material world|Original Vaniquotes page in English]]</big>'''
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{{youtube_right|0qe-vDxsOF8|Au moment où je quitte ce corps, c’en est finit de mes grattes-ciel et de mon business <br/>- Prabhupāda 0498}}
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'''[[Vanisource:Lecture on BG 2.15 -- Hyderabad, November 21, 1972|Lecture on BG 2.15 -- Hyderabad, November 21, 1972]]'''
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Donc, voici la recommandation. Essayez de devenir conscient de Krishna. Et puis vous ne serez pas dérangé par toutes ces modifications, éphémères et externes du monde matériel. Pas seulement de ce corps, par la pratique, celui qui est avancé dans la vie spirituelle, il n'est pas agité par de soi-disant bouleversements politiques ou des troubles sociaux. Non, il sait qu'ils sont tout simplement externes, Tout comme dans le rêve. C'est aussi un rêve. Le... Notre existence actuelle, C'est aussi un rêve. Exactement comme nous rêvons la nuit. En rêvant, nous créons tant de choses. Donc ce monde matériel est aussi un rêve grossier. Rêve grossier. C'est le rêve subtile. Et c'est le rêve grossier. C'est l'action de l'esprit, du corps, de l'intelligence, de la rêverie. Et ici, l'action des cinq éléments matériels: la terre, l'eau, l'air, le feu... Mais chacun d'eux, ces huit, ils sont tout simplement matériels. Donc, nous pensons: "J'ai maintenant construit une très belle maison, un gratte-ciel." Ce n'est rien d'autre qu'un rêve. Rien qu'un rêve. Rêve dans ce sens, que dès que je renonce à ce corps, tout mon gratte-ciel, mon entreprise, mon usine - c'est fini. Exactement le même rêve. Le rêve dure quelques minutes ou quelques heures. Et celui-ci dure quelques années. Voilà tout. C'est le rêve. 

Donc, il ne faut pas être perturbé par cette condition imaginaire. C'est la vie spirituelle. On ne devrait pas être perturbé. Tout comme nous ne sommes pas dérangés. Supposons que, dans le rêve, j'ai été mis sur le trône, et je travaillais comme un roi, et quand le rêve est fini, je ne suis pas fâché. De même, dans le rêve je voyais ce tigre m'attaqué. En fait, je pleurais "Voici un tigre! Voici un tigre! Sauve-moi." Et la personne qui est couché derrière moi ou à côté de moi, elle dit, "Oh, pourquoi pleures-tu? Où est le tigre?" Alors, quand on est réveillé, on voit qu'il n'y a pas de tigre. Donc, tout est comme cela. Mais ce rêve, ces rêves grossiers et subtils, sont tout simplement des réflexions. Tout comme qu'est ce que le rêve? Toute la journée, ce que je pense, le rêve est une réflexion, une réflexion. Mon père avait un commerce de vêtements. Alors parfois, il rêvait, il citait le prix: "C'est le prix." Pareillement, tout cela est un rêve. Cette existence matérielle, constituée de ces cinq éléments grossiers et trois éléments subtils, ils sont exactement comme un rêve. Smara nityam aniyatām. Par conséquent Cānakya Pandita dit: smara nityam aniyatām. Cette anitya, temporaire... Rêver est toujours temporaire. 

Donc, nous devons savoir que tout ce que nous possédons, ce que nous voyons, ce sont tous des rêves, temporaires. Par conséquent, si nous devenons absorbés par les choses temporaires, le soi-disant socialisme, nationalisme, famille-isme ou ce-isme, ce-isme, et perdons notre temps, sans cultiver la conscience de Krishna, alors c'est appelé srama eva hi kevalam ([[Vanisource:SB 1.2.8|SB 1.2.8]]), perdre tout simplement notre temps, en créant un autre corps. Notre propre entreprise est que nous devrions savoir que "je ne suis pas ce rêve. Je suis une réalité, une occurrence spirituel. Donc, j'ai une activité différente." C'est ce qu'on appelle la vie spirituelle. C'est la vie spirituelle, quand nous comprenons que "Je suis un Brahman. Je ne suis pas cette matière." Brahma-bhūtah prasannātmā ([[FR/BG 18.54|BG 18.54]]). Cette fois nous serons joyeux. Parce que nous sommes affligés par tant de changements des caractéristiques matérielles, et nous sommes désolés et heureux, étant affligé par toutes ces activités externes, mais quand nous comprenons à juste titre que "je ne suis pas concerné par toutes ces choses," alors nous devenons joyeux. "Oh, je n'ai pas de responsabilité. Rien, je n'ai rien à voir avec toutes ces choses."
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