FR/Prabhupada 0142 - Mettez fin au massacre de la nature matérielle: Difference between revisions

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Tout d'abord les gens ne comprennent pas ce qu'est le but de la vie. Ils ne s'en soucient pas à l'heure actuelle. Ils n'ont aucune distinction de ce qu'est une vie pécheresse ou une vie pieuse. Mais nous ne pouvons pas croire ces choses-là, mais les choses sont comme cela. Tout comme si vous êtes infecté par une maladie, cela va sortir. Vous croyez ou vous ne croyez pas, cela n'est pas grave. Voici notre médecin Saheb. Il sait que si vous êtes infecté par une maladie, cela va sortir. Donc nous sommes infectés par tant de qualités infectieuses. Il y a trois qualités - sattva-guna, rajo-guna, Tamo Guna-- et selon notre infection, nous devons accepter un type de corps différent. "Karmana daiva-netrena ([[Vanisource:SB 3.31.1|SB 3.31.1]])" Chacun de nous, nous travaillons sous les influences de la nature matérielle, et selon notre association, nous aurons à accepter un certain type de corps : "tathā dehāntara-prāptih ([[Vanisource:BG 2.13|BG 2.13]]) " Malheureusement, il n'y a pas de science, il n'existe pas de collège, il n'y a pas d'université pour apprendre cette science de la nature, comment les choses se passent. "Prakrteh kriyamānāni gunaih karmāni sarvaśah ([[Vanisource:BG 3.27|BG 3.27]])" "Prakrti" est là.  
Tout d'abord les gens ne comprennent pas ce qu'est le but de la vie. Ils ne s'en soucient pas à l'heure actuelle. Ils n'ont aucune distinction de ce qu'est une vie pècheresse ou une vie pieuse. Mais nous pouvons ne pas croire ces choses-là, mais les choses sont comme cela. Tout comme si vous êtes infecté par une maladie, cela va sortir que vous le croyez ou pas, cela ne change rien. Voici notre médecin Saheb. Il sait que si vous êtes infecté par une maladie, cela va sortir. Donc nous sommes infectés par tant de qualités infectieuses.


Donc, nous sommes dans ce monde matériel, en raison de cette maladie infectieuse. C'est notre problème. Et nous devons mourir. C'est un fait. Si vous dites: "Je ne crois pas à la mort", ce n'est pas une excuse. La mort doit être là. Vous devez mourir. Donc de cette façon notre vie se passe. Ainsi, dans la forme de vie humaine, nous pouvons y remédier. C'est le processus de la conscience de Krishna, si nous corrigeons notre association constante avec les différents modes de la nature matérielle ... Et comme résultat de cette association, nous acceptons un corps et nous mourrons de nouveau, et nous acceptons une nouvelle fois un autre corps, et à nouveau nous mourrons. Cette affaire va s'arrêter. "Yad gatvā na nivartante tad dhāma paramaṁ mama ([[Vanisource:BG 15.6|BG 15.6]]). " D'une façon ou de l'autre, si vous devenez apte à retourner à la maison, auprès de Dieu, "yad gatvā" alors vous n'avez pas à revenir. Mais ils ne comprennent pas que cette vie conditionnée par la matiére est toujours misérable. Ils ont accepté : "c'est très agréable." Animaux. Animaux, tout comme dans l'abattoir, le bétail groupé, il y a tellement d'animaux, et ils vont être abattus. Tout le monde le sait. Ils savent aussi, les animaux. Mais en raison de leur qualité d'animaux, ils ne peuvent rien faire. De même, nous sommes mis dans l'abattoir de ce monde matériel. Il est appelé "mrtyu-Loka". Tout le monde sait qu'il va être abattu. Aujourd'hui ou demain ou dans cinquante ans ou dans cent ans, tout le monde sait qu'il va être abattu. Il va mourir. La mort signifie massacre. Personne ne veut mourir. Les animaux aussi n'aiment pas mourir. Mais ils sont tués de forcé. C'est ce qu'on appelle le massacre. De même, qui veut mourir ? Personne ne veut mourir. Mais par la loi de la nature, il doit être tué. C'est l'abattoir. L'ensemble de ce monde matériel est un abattoir. Nous devons réaliser cela. Et il est appelé "mrtyu-Loka". C'est le problème. Mais ils ne prennent pas cela très au sérieux, comme les animaux. L'animal, il ne prend pas cela très au sérieux. Et même si il sait qu'il va mourir, il ne peut prendre aucune initiative.  
Il y a trois qualités - ''sattva-guna, rajo-guna, tamo guna'' - et selon notre infection, nous devons accepter un type de corps différent. ''Karmaṇā daiva-netreṇa'' ([[Vanisource:SB 3.31.1|SB 3.31.1]]) Chacun de nous travaillons sous les influences de la nature matérielle, et selon notre association, nous aurons à accepter un certain type de corps, ''tathā dehāntara-prāptiḥ'' ([[FR/BG 2.13|BG 2.13]]) Malheureusement, il n'y a pas de science, il n'existe pas de collège, il n'y a pas d'université pour apprendre cette science de la nature, comment les choses se passent. ''Prakṛteḥ kriyamāṇāni guṇaiḥ karmāṇi sarvaśaḥ'' ([[FR/BG 3.27|BG 3.27]]). ''Prakṛti'' est là.  


Donc, notre position est comme cela : "Mrtyu-saṁsāra-sāgarāt" "Tesām ahaṁ anukampārtham aham ajñāna-jaṁ tamah. Tesām ahaṁ samuddhartā mrtyu-saṁsāra-sāgarāt ([[Vanisource:BG 12.7|BG 12.7]]). " Donc, nous devrions comprendre notre position. Personne ne veut mourir, mais il est abattu. Encore une fois, il lui est donné une autre chance, un autre corps. Il est de nouveau abattu. Ce sont les lois de la nature, cela se passe : "Daivī hy esā gunamayī mama māyā duratyayā ([[Vanisource:BG 7.14|BG 7.14]]). " Nous devrions sérieusement comprendre de quelle façon arrêter ce processus d'abattage mis en oeuvre par la nature matérielle. C'est l'intelligence. Sinon, pour être heureux comme les chats et les chiens, "Oh, j'ai très bien mangé et je saute. Je ne m'inquiète pas d'être abattu" ce n'est pas une très bonne intelligence. L'intelligence est comment arrêter ce processus de massacre de la nature. C'est l'intelligence. Ce qui est en cours de discussion.  
Nous sommes dans ce monde matériel en raison de cette maladie infectieuse. C'est notre problème. Et nous devons mourir. C'est un fait. Si vous dites, "Je ne crois pas à la mort", ce n'est pas une excuse. La mort doit être là. Vous devez mourir. Notre vie se passe de cette façon.


Donc, n'importe qui peut sortir du processus de massacre par le service de dévotion. Cela est dit ici : "kecit kevalayā bhaktyā ([[Vanisource:SB 6.1.15|SB 6.1.15]]). " "Kecit" : Ce n'est pas très commun. Très rarement on en vient à la conscience de Krishna. " Kecit kevalayā bhaktyā" Simplement par le service de dévotion, on peut sortir de cette condition dangereuse d'être abattu. "Kecit kevalayā bhaktyā ([[Vanisource:SB 6.1.15|SB 6.1.15]]) " Et qui sont-ils? "Vasudeva-parāyanāh" les dévots de Krishna. Le nom de Krishna est Vāsudeva. Il est le fils de Vasudeva, donc son nom est Vāsudeva. Donc vāsudeva-parāyanāh. Parāyanāh signifie "Notre but ultime est Vāsudeva, rien de plus." Ils sont appelés "vāsudeva-parāyanāh. Vāsudeva-parāyanāh, aghaṁ dhunvanti. " "Agham" signifie la contamination matérielle. Nous sommes toujours en association avec la contamination matérielle. Donc, si nous devenons "vāsudeva-parāyanāh... " "Vāsudevah sarvam iti sa mahātmā sudurlabhah ([[Vanisource:BG 7.19|BG 7.19]]) " la même chose. Ici, il est dit "kecit"...signifie très rarement. Et Krishna dit aussi dans la Bhagavad-Gîtâ "vāsudevah sarvam iti sa mahātmā sudurlabhah ([[Vanisource:BG 7.19|BG 7.19]])". "Sudurlabhah" : très rare.
Dans la forme de vie humaine, nous pouvons y remédier. C'est le processus de la conscience de Kṛṣṇa de corriger notre association constante avec les différents modes de la nature matérielle - Comme résultat de cette association, nous acceptons un corps et nous mourrons de nouveau, et nous acceptons une nouvelle fois un autre corps, et à nouveau nous mourrons - et d'arrêter ce processus: ''Yad gatvā na nivartante tad dhāma paramaṁ mama'' ([[FR/BG 15.6|BG 15.6]]), d'une façon ou d'une autre, si vous devenez apte à retourner à la maison, auprès de Dieu - ''yad gatvā'' - alors vous n'avez pas à revenir.
 
Mais ils ne comprennent pas que cette vie conditionnée par la matière est toujours misérable. Ils ont accepté, "c'est très agréable" - des animaux. Tout comme dans l'abattoir, le bétail est groupé et il y a tellement d'animaux qui vont être abattus. Tout le monde le sait - Ils le savent aussi les animaux. Mais en raison de leur qualité d'animaux, ils ne peuvent rien faire.
 
De même, nous sommes mis dans l'abattoir de ce monde matériel. Il est appelé ''mṛtyu-loka''. Tout le monde sait qu'il va être abattu. Aujourd'hui ou demain ou dans cinquante ans ou dans cent ans, tout le monde sait qu'il va être abattu, il va mourir. La mort signifie, abattage. Personne ne veut mourir. Les animaux aussi n'aiment pas mourir. Mais ils sont tués de force. C'est ce qu'on appelle l'abattage. De même, qui veut mourir? Personne ne veut mourir. Mais par la loi de la nature, il doit être tué. C'est l'abattoir.
 
L'ensemble de ce monde matériel est un abattoir. Nous devons réaliser cela. Et il est appelé ''mṛtyu-loka''. C'est le problème. Mais ils ne prennent pas cela très au sérieux, comme les animaux. L'animal ne prend pas cela très au sérieux. Et même s'il sait qu'il va mourir, il ne peut prendre aucune initiative.
 
Donc, notre position est comme cela : ''Mṛtyu-saṁsāra-sāgarāt'', ''Teṣām ahaṁ anukampārtham aham ajñāna-jaṁ tamaḥ''. ''Teṣām ahaṁ samuddhartā mṛtyu-saṁsāra-sāgarāt'' ([[FR/BG 12.6-7|BG 12.7]]). Nous devrions comprendre notre position - Personne ne veut mourir, mais il est abattu. Encore une fois, il lui est donné une autre chance, un autre corps. Il est de nouveau abattu. Ce sont les lois de la nature, cela se passe: ''Daivī hy eṣā guṇamayī mama māyā duratyayā'' ([[FR/BG 7.14|BG 7.14]]).
 
Nous devrions sérieusement comprendre de quelle façon arrêter ce processus d'abattage mis en oeuvre par la nature matérielle - C'est l'intelligence. Sinon, pour être heureux comme les chats et les chiens  - "Oh, j'ai très bien mangé et je saute. Je ne m'inquiète pas d'être abattu" - ce n'est pas une très bonne intelligence. L'intelligence est comment arrêter ce processus d'abattage mise en oeuvre par la nature. C'est l'intelligence. C'est ce qui est en cours de discussion.
 
N'importe qui peut sortir du processus d'abattage grâce au service de dévotion. Cela est dit ici : ''kecit kevalayā bhaktyā'' ([[Vanisource:SB 6.1.15|SB 6.1.15]]). ''Kecit:'' Ce n'est pas très commun. Très rarement on en vient à la conscience de Kṛṣṇa - ''Kecit kevalayā bhaktyā''. Simplement par le service de dévotion, on peut sortir de cette condition dangereuse d'être abattu - ''Kecit kevalayā bhaktyā'' ([[Vanisource:SB 6.1.15|SB 6.1.15]]).
 
Et qui sont-ils? - ''Vāsudeva-parāyaṇāḥ'', les dévots de Kṛṣṇa. Le nom de Kṛṣṇa est Vāsudeva. Il est le fils de Vasudeva, donc son nom est Vāsudeva. Donc ''vāsudeva-parāyanāh''. ''Parāyanāh'' signifie, notre but ultime est Vāsudeva, rien de plus. Ils sont appelés ''vāsudeva-parāyanāh''. ''Vāsudeva-parāyanāh, aghaṁ dhunvanti''. ''Aghaṁ'' signifie, la contamination matérielle. Nous sommes toujours en association avec la contamination matérielle. Donc, si nous devenons ''vāsudeva-parāyanāh''... ''Vāsudevaḥ sarvam iti sa mahātmā sudurlabhaḥ'' ([[FR/BG 7.19|BG 7.19]]) la même chose. Ici, il est dit ''kecit'' qui signifie, très rarement. Et Kṛṣṇa dit aussi dans la ''Bhagavad-gītā'': ''"Vāsudevaḥ sarvam iti sa mahātmā sudurlabhaḥ"'' ([[FR/BG 7.19|BG 7.19]])". ''Sudurlabhaḥ'': très rare.
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Latest revision as of 15:17, 17 September 2020



Lecture on SB 6.1.15 -- Denver, June 28, 1975

Tout d'abord les gens ne comprennent pas ce qu'est le but de la vie. Ils ne s'en soucient pas à l'heure actuelle. Ils n'ont aucune distinction de ce qu'est une vie pècheresse ou une vie pieuse. Mais nous pouvons ne pas croire ces choses-là, mais les choses sont comme cela. Tout comme si vous êtes infecté par une maladie, cela va sortir que vous le croyez ou pas, cela ne change rien. Voici notre médecin Saheb. Il sait que si vous êtes infecté par une maladie, cela va sortir. Donc nous sommes infectés par tant de qualités infectieuses.

Il y a trois qualités - sattva-guna, rajo-guna, tamo guna - et selon notre infection, nous devons accepter un type de corps différent. Karmaṇā daiva-netreṇa (SB 3.31.1) Chacun de nous travaillons sous les influences de la nature matérielle, et selon notre association, nous aurons à accepter un certain type de corps, tathā dehāntara-prāptiḥ (BG 2.13) Malheureusement, il n'y a pas de science, il n'existe pas de collège, il n'y a pas d'université pour apprendre cette science de la nature, comment les choses se passent. Prakṛteḥ kriyamāṇāni guṇaiḥ karmāṇi sarvaśaḥ (BG 3.27). Prakṛti est là.

Nous sommes dans ce monde matériel en raison de cette maladie infectieuse. C'est notre problème. Et nous devons mourir. C'est un fait. Si vous dites, "Je ne crois pas à la mort", ce n'est pas une excuse. La mort doit être là. Vous devez mourir. Notre vie se passe de cette façon.

Dans la forme de vie humaine, nous pouvons y remédier. C'est le processus de la conscience de Kṛṣṇa de corriger notre association constante avec les différents modes de la nature matérielle - Comme résultat de cette association, nous acceptons un corps et nous mourrons de nouveau, et nous acceptons une nouvelle fois un autre corps, et à nouveau nous mourrons - et d'arrêter ce processus: Yad gatvā na nivartante tad dhāma paramaṁ mama (BG 15.6), d'une façon ou d'une autre, si vous devenez apte à retourner à la maison, auprès de Dieu - yad gatvā - alors vous n'avez pas à revenir.

Mais ils ne comprennent pas que cette vie conditionnée par la matière est toujours misérable. Ils ont accepté, "c'est très agréable" - des animaux. Tout comme dans l'abattoir, le bétail est groupé et il y a tellement d'animaux qui vont être abattus. Tout le monde le sait - Ils le savent aussi les animaux. Mais en raison de leur qualité d'animaux, ils ne peuvent rien faire.

De même, nous sommes mis dans l'abattoir de ce monde matériel. Il est appelé mṛtyu-loka. Tout le monde sait qu'il va être abattu. Aujourd'hui ou demain ou dans cinquante ans ou dans cent ans, tout le monde sait qu'il va être abattu, il va mourir. La mort signifie, abattage. Personne ne veut mourir. Les animaux aussi n'aiment pas mourir. Mais ils sont tués de force. C'est ce qu'on appelle l'abattage. De même, qui veut mourir? Personne ne veut mourir. Mais par la loi de la nature, il doit être tué. C'est l'abattoir.

L'ensemble de ce monde matériel est un abattoir. Nous devons réaliser cela. Et il est appelé mṛtyu-loka. C'est le problème. Mais ils ne prennent pas cela très au sérieux, comme les animaux. L'animal ne prend pas cela très au sérieux. Et même s'il sait qu'il va mourir, il ne peut prendre aucune initiative.

Donc, notre position est comme cela : Mṛtyu-saṁsāra-sāgarāt, Teṣām ahaṁ anukampārtham aham ajñāna-jaṁ tamaḥ. Teṣām ahaṁ samuddhartā mṛtyu-saṁsāra-sāgarāt (BG 12.7). Nous devrions comprendre notre position - Personne ne veut mourir, mais il est abattu. Encore une fois, il lui est donné une autre chance, un autre corps. Il est de nouveau abattu. Ce sont les lois de la nature, cela se passe: Daivī hy eṣā guṇamayī mama māyā duratyayā (BG 7.14).

Nous devrions sérieusement comprendre de quelle façon arrêter ce processus d'abattage mis en oeuvre par la nature matérielle - C'est l'intelligence. Sinon, pour être heureux comme les chats et les chiens - "Oh, j'ai très bien mangé et je saute. Je ne m'inquiète pas d'être abattu" - ce n'est pas une très bonne intelligence. L'intelligence est comment arrêter ce processus d'abattage mise en oeuvre par la nature. C'est l'intelligence. C'est ce qui est en cours de discussion.

N'importe qui peut sortir du processus d'abattage grâce au service de dévotion. Cela est dit ici : kecit kevalayā bhaktyā (SB 6.1.15). Kecit: Ce n'est pas très commun. Très rarement on en vient à la conscience de Kṛṣṇa - Kecit kevalayā bhaktyā. Simplement par le service de dévotion, on peut sortir de cette condition dangereuse d'être abattu - Kecit kevalayā bhaktyā (SB 6.1.15).

Et qui sont-ils? - Vāsudeva-parāyaṇāḥ, les dévots de Kṛṣṇa. Le nom de Kṛṣṇa est Vāsudeva. Il est le fils de Vasudeva, donc son nom est Vāsudeva. Donc vāsudeva-parāyanāh. Parāyanāh signifie, notre but ultime est Vāsudeva, rien de plus. Ils sont appelés vāsudeva-parāyanāh. Vāsudeva-parāyanāh, aghaṁ dhunvanti. Aghaṁ signifie, la contamination matérielle. Nous sommes toujours en association avec la contamination matérielle. Donc, si nous devenons vāsudeva-parāyanāh... Vāsudevaḥ sarvam iti sa mahātmā sudurlabhaḥ (BG 7.19) la même chose. Ici, il est dit kecit qui signifie, très rarement. Et Kṛṣṇa dit aussi dans la Bhagavad-gītā: "Vāsudevaḥ sarvam iti sa mahātmā sudurlabhaḥ" (BG 7.19)". Sudurlabhaḥ: très rare.