FR/Prabhupada 0570 - Même en cas de malentendu entre mari et femme, il n’est pas question de divorce: Difference between revisions

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Journaliste: Y a t'il beaucoup de divorce en Inde?  
Journaliste : Y a t'il beaucoup de divorce en Inde?  


Prabhupada: Oui. Les soi-disant, les garçons et les filles avancées modernement, ils sont maintenant divorcés. Mais avant cela, s'il y avait même un malentendu entre mari et femme, une querelle, il n'était pas question de divorce. Pendant ma vie pratique. J'étais un chef de famille. Maintenant, j'ai renoncé. Donc, pratiquement je n'étais pas d'accord avec ma femme, mais il n'était pas question même en rêve de divorcer. Vous voyez? Ni elle rêvait, ni je rêvais. Ce n'était pas connue. Maintenant, ils l'ont introduits.  
Prabhupāda : Oui. Les garçons et les filles soi-disant en avances, ils sont maintenant divorcés. Mais avant cela, même s'il y avait un malentendu entre mari et femme, une querelle, il n'était pas question de divorce. Prenons ma vie pratique. J'étais un chef de famille. Maintenant, j'ai renoncé. Donc, pratiquement je n'étais pas d'accord avec ma femme, mais on ne songeait pas de divorcer. Vous voyez? Ni elle ni moi n'y songions. Cela nous était inconnu. Maintenant, ils l'ont introduit.  


Journaliste: Oui. La culture occidentale.  
Journaliste : Oui. Culture occidentale.  


Prabhupada: Ah, oui.  
Prabhupāda : Ah, oui.  


Journaliste: Avez-vous beaucoup de suite en Inde elle-même?  
Journaliste : Étes-vous très suivi en Inde même?  


Prabhupada: Oui. Personnellement non, mais mes autres frères spirituels, ce culte est très bon.  
Prabhupāda : Oui. Personnellement non, mais mes autres confrères, ce culte est très bon.  


Journaliste: Combien, combien ...  
Journaliste : Combien, combien...  


Prabhupada: Oh, des millions. Nous avons, cette philosophie de Vaisnava, la conscience de Krishna, et millions de millions. Presque tous. 80 pour cent. Vous demandez à un Indien et il va parler de tant de choses à propos de la conscience de Krishna. Il ne peut pas être mon disciple, mais il y a beaucoup de personne sainte comme moi. Ils font ce métier.  
Prabhupāda : Oh, des millions. Nous avons, cette philosophie Vaiṣṇava, la conscience de Kṛṣṇa, et millions de millions. Presque tous. 80 pour cent. Vous interrogez un Indien et il va parler de tant de choses à propos de la conscience de Kṛṣṇa. Il peut ne pas être mon disciple, mais il y a beaucoup de personne sainte comme moi. Ils font cette activité.  


Journaliste: Vous avez ... Avez-vous eu une formation formelle avec un ...  
Journaliste : Vous avez... Avez-vous eu une formation formelle avec un...  


Prabhupada: Oui, j'ai été initié par mon Guru Maharaja. Son, ici, c'est cela, la photo de mon maître spirituel.  
Prabhupāda : Oui, j'ai été initié par mon Gourou Maharaja. Son..., voici, la photo de mon maître spirituel.  


Journaliste: Oh, je vois.  
Journaliste : Oh, je vois.  


Prabhupada: Oui. Ainsi, lorsque votre pays voulait un certificat pour me faire résident permanent, alors j'ai reçut un certificat de mes frères spirituels comme quoi je suis initié. Voilà tout. Mais sinon, dans notre pays, il n'est pas nécessaire de certificat.  
Prabhupāda : Oui. Ainsi, lorsque votre pays voulait un certificat pour me faire résident permanent, alors j'ai reçut un certificat de mes confrères comme quoi je suis initié. Voilà tout. Mais sinon, dans notre pays, il n'est pas nécessaire d'avoir un certificat.  


Journaliste: En d'autres termes, il n'y a rien comme aller à un séminaire en Inde où vous allez à un séminaire ou dans un monastère et vous pouvez prendre un cours de quatre ans ...  
Journaliste : En d'autres termes, il n'y a rien comme aller dans un séminaire en Inde où vous allez au séminaire ou dans un monastère et vous pouvez prendre un cours de quatre ans...  


Prabhupada: Non, ce n'est pas un monastère. Oui, il y a un monastère. Nous avons une institution, la Gaudiya Math Institution. Ils ont des centaines de branches, oui.  
Prabhupāda : Non, c'est un monastère. Oui, il y a un monastère. Nous avons une institution, l'Institution Gaudiya Math . Ils ont des centaines de branches, oui.  


Journaliste: Vous partez pour un cours d'études prescrit?  
Journaliste : Vous partez pour un cours d'études prescrit?  


Prabhupada: Oui, bien sûr d'études prescrit, ces deux, trois livres, c'est tout. N'importe qui peut lire. La Bhagavad-Gîtâ et le Srimad-Bhagavatam ou le Chaitanya-caritamrta. Vous apprendrez tout. Vous n'avez pas à apprendre tant de gros volumes de livres. Parce que la Bhagavad-Gîtâ est un si beau livre, si vous pouvez comprendre une seule ligne, vous avancez de cent ans. Vous voyez? Donc, je veux dire, c'est significatif et solide. C'est pourquoi nous avons publié cette Bhagavad-Gita telle qu'elle est. Laissez vos gens la lire, qu'ils se remettent en question, et essayent de comprendre ce qu'est ce mouvement.  
Prabhupāda : Oui, bien sûr d'études prescrit, ces deux, trois livres, c'est tout. Tous peuvent lire. La Bhagavad-gītā et le Śrīmad-Bhāgavatam ou le Caitanya-caritāmṛta. Vous apprprendrez toutes choses. Vous n'avez pas à apprendre de si énormes quantités de volumes de litérature. Parce que la Bhagavad-gītā est un si beau livre, si vous pouvez comprendre une seule ligne, vous avancez de cent ans. Vous voyez? Donc, ce que je veux dire, c'est significatif et si solide. C'est pourquoi nous avons publié cette Bhagavad-gītā telle qu'elle est. Laissez vos gens la lire, qu'ils questionnent, et essayent de comprendre ce qu'est ce mouvement.  


Journaliste: Macmillan publie celui-ci.  
Journaliste : Macmillan publie celui-ci.  


Prabhupada: Oui, Macmillan publie.
Prabhupāda : Oui, Macmillan publie.
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Latest revision as of 20:19, 30 June 2019



Press Interview -- December 30, 1968, Los Angeles

Journaliste : Y a t'il beaucoup de divorce en Inde?

Prabhupāda : Oui. Les garçons et les filles soi-disant en avances, ils sont maintenant divorcés. Mais avant cela, même s'il y avait un malentendu entre mari et femme, une querelle, il n'était pas question de divorce. Prenons ma vie pratique. J'étais un chef de famille. Maintenant, j'ai renoncé. Donc, pratiquement je n'étais pas d'accord avec ma femme, mais on ne songeait pas de divorcer. Vous voyez? Ni elle ni moi n'y songions. Cela nous était inconnu. Maintenant, ils l'ont introduit.

Journaliste : Oui. Culture occidentale.

Prabhupāda : Ah, oui.

Journaliste : Étes-vous très suivi en Inde même?

Prabhupāda : Oui. Personnellement non, mais mes autres confrères, ce culte est très bon.

Journaliste : Combien, combien...

Prabhupāda : Oh, des millions. Nous avons, cette philosophie Vaiṣṇava, la conscience de Kṛṣṇa, et millions de millions. Presque tous. 80 pour cent. Vous interrogez un Indien et il va parler de tant de choses à propos de la conscience de Kṛṣṇa. Il peut ne pas être mon disciple, mais il y a beaucoup de personne sainte comme moi. Ils font cette activité.

Journaliste : Vous avez... Avez-vous eu une formation formelle avec un...

Prabhupāda : Oui, j'ai été initié par mon Gourou Maharaja. Son..., voici, la photo de mon maître spirituel.

Journaliste : Oh, je vois.

Prabhupāda : Oui. Ainsi, lorsque votre pays voulait un certificat pour me faire résident permanent, alors j'ai reçut un certificat de mes confrères comme quoi je suis initié. Voilà tout. Mais sinon, dans notre pays, il n'est pas nécessaire d'avoir un certificat.

Journaliste : En d'autres termes, il n'y a rien comme aller dans un séminaire en Inde où vous allez au séminaire ou dans un monastère et vous pouvez prendre un cours de quatre ans...

Prabhupāda : Non, c'est un monastère. Oui, il y a un monastère. Nous avons une institution, l'Institution Gaudiya Math . Ils ont des centaines de branches, oui.

Journaliste : Vous partez pour un cours d'études prescrit?

Prabhupāda : Oui, bien sûr d'études prescrit, ces deux, trois livres, c'est tout. Tous peuvent lire. La Bhagavad-gītā et le Śrīmad-Bhāgavatam ou le Caitanya-caritāmṛta. Vous apprprendrez toutes choses. Vous n'avez pas à apprendre de si énormes quantités de volumes de litérature. Parce que la Bhagavad-gītā est un si beau livre, si vous pouvez comprendre une seule ligne, vous avancez de cent ans. Vous voyez? Donc, ce que je veux dire, c'est significatif et si solide. C'est pourquoi nous avons publié cette Bhagavad-gītā telle qu'elle est. Laissez vos gens la lire, qu'ils questionnent, et essayent de comprendre ce qu'est ce mouvement.

Journaliste : Macmillan publie celui-ci.

Prabhupāda : Oui, Macmillan publie.